Le livre du premier, choque le second ; le livre du second, choque le troisième… alors, on se met à censurer… au mieux, l’Enfer des bibliothèques ; au pire, le boycott de « l’œuvre » ou les autodafés. Mais ce que l’on oublie souvent, c’est qu’en agissant ainsi on tend à gommer une partie de l’histoire, et par là même, la connaissance, unique remède à la barbarie.
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