Quand ils échappent au pilon, à la censure, aux procès ou encore à l’interdiction d’édition ou de réédition, les livres aux contenus misogynes, homophobes, xénophobes… ou contenant des appels à la haine, se voient préfacés d’une mise en garde et classés en l’enfer des librairies et des bibliothèques ; sauf quand ces derniers sont dits sacrés, alors se retrouvent-ils même classés au rayon jeunesse, dispensés de toute jurisprudentielle préface.
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